L’immobilisme nous touche toutes et tous
Comment vaincre l’immobilisme ?
Nous traversons tous des périodes plus ou moins favorables aux initiatives et à l’action.
À titre individuel bien sûr : nous avons forcément à faire face, de temps en temps, à des périodes de « mou », où nous nous mettons spontanément au repos.
Quand nous nous surprenons à d’autres moments pourvus d’une énergie débordante à même de déplacer les montagnes.
C’est aussi vrai à titre collectif.
La sortie du confinement, qui a obligatoirement freiné nos projets, a été une période d’activité intense. Création de nouvelles entreprises, recrudescence des achats immobiliers… il a bien fallu rattraper le « temps perdu ».
Jusqu’à ce que cette suractivité nous rattrape à son tour, matérialisée par l’augmentation de l’inflation, la hausse des taux d’intérêt et l’entrée dans une nouvelle ère économique (voir l’article sur le nouveau marché immobilier).
Une ère plus favorable aux ralentissements et à l’immobilisme qu’au passage à l’action.
- Ralentissement de la consommation, justifié par la diminution du pouvoir d’achat.
- Ralentissement du marché immobilier, dû à la conjonction : augmentation des taux d’intérêt + baisse de la rentabilité immobilière (hausse de la taxe foncière / encadrement des loyers…) + nouvelles normes environnementales (DPE)
- Immobilisme en matière de placements…
En période de retournement des taux, faute de savoir de quoi demain sera fait, il est assez naturel de se mettre en position « attente ». Attendre que les prix du marché immobilier baisse ; attendre que la Bourse décroche vraiment ; attendre que les cryptomonnaies reprennent des couleurs ; attendre que les taux arrêtent d’augmenter pour (ré)acheter des obligations.
Or ce n’est pas parce que les temps sont à l’immobilisme qu’il faut s’arrêter ! Je considère même que c’est de notre responsabilité individuelle de lutter contre l’attentisme et la passivité… de chercher les bons endroits pour continuer à investir… de rester dans l’action en investissant de manière intelligente et « gagnante » :
- Vous ne perdrez pas en négociant correctement votre achat immobilier.
- Ni en optant pour une stratégie d’exploitation à haut rendement.
- Ni en lançant une activité d’indépendant 3.0.
- Ni en cherchant, parmi les placements sécurisés (de plus en plus) rémunérateurs, comment booster votre épargne de précaution.
- Encore moins en investissant sur vous.
Attendre et ne rien faire, une bonne idée ?
Il vous faudra sûrement rester prudents sur quelques investissements, tels que les obligations ou même les actions… mais cela ne signifie pas «attendre et ne rien faire. »
Car l’attentisme est contagieux et il est particulièrement difficile de s’en extirper !
Vous pourriez donc rester anglué.e un peu plus longtemps que nécessaire dans l’inaction…
Or combien de temps cette nouvelle ère durera-t-elle ? Est-il raisonnable de s’abstenir de tout projet pendant les deux, trois… cinq prochaines années ?
Votre situation sera-t-elle identique dans 5 ans si vous avez opté pour « attendre et voir venir » ou si vous avez continué à mener à bien vos projets (placements, entreprises, immobilier…) ?
La période a beau être trouble, nouvelle et compliquée, elle ne durera pas toujours.
Une crise (dans l’immobilier ou en Bourse) est essentiellement synonyme de régulation du marché.
Le marché immobilier va redevenir favorable aux acheteurs – et beaucoup moins aux vendeurs (qui ont été favorisés ces 5 dernières années).
Après un probable décrochage, la bourse devrait offrir de nouvelles très belles opportunités.
Dont vous ne profiterez que si vous êtes resté.e dans le mouvement, en luttant contre la sinistrose ambiante – et si vous n’avez pas à vaincre votre propre passivité !
Merci pour cet article qui encourage à aller de l’avant. En quelques mot vous décrivez bien le contexte actuel et cela me fait prendre encore plus conscience de mes choix dans le maintenant.C’est énergisant! Bonne journée!!!
Merci à vous Pauline pour votre retour sur l’article !
Excellente journée à vous